Rédigé le 04/03/2013 à 13:00 dans B75's projects, Design, Mode | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La semaine débute avec une nouvelle rencontre.
Quand il m'a été proposé de rencontré Lucas de Staël, le petit fils du peintre russe Nicolas de Staël, j'ai crains, un moment, me retrouver en présence d'un héritier qui allait me seriner toute la lithurgie familiale...
Et bien ce ne fut pas le cas!
Dès les premiers instants dans son atelier, son enthousiasme, son énergie et son grand sourire m'ont vite fait oublié que sa famille porte le nom De Staël Von Holstein, et m'ont entraîné vers sa passion qui n'est pas la peinture... mais les lunettes !
Chacun connaît d'ailleurs mon intérêt pour la chose depuis notamment ma rencontre avec les lunettiers Derome & Brenner.
De sa formation d'origine de designer industriel, sorti avec un diplôme de l'ENCSI Les Ateliers en 2004, il s'est pris au jeu et de faire de la lunette, un exercice combinant technicité, fonctionnalité et style.
Il l'avoue de lui même, cela aurait pu être un autre objet mais son caractère inventif, intransigeant et rêveur l'entraînent toujours plus loin dans la recherche du modèle parfait.
Ainsi après un stage chez le lunetier IDC, une collaboration pour la marque de masques de skis et lunettes de sport Cébé puis chez le lunetier-créateur Face-à-face en qualité de designer intégré, il décide en 2006 de voguer de ses propres ailes.
Il crée ainsi sa première marque "Undostrial"... pour Industriel et aucune référence à l'espagnol même si certains chercheront des connotations avec la danse.
C'est avec cette marque, que dans son atelier du XIème arrondissement, un vrai cafarnaüm ou un véritable laboratoire d'idées,
qu'il va expérimenter une nouvelle approche de la lunette en combinant d'une part une tradition artisanale revisitée à d'autre part un choix de matériaux toujours surprenants comme l'acier, le plastique souple ou le bois.
Je suis ainsi resté en arrêt devant ces montures souples :
ou bien encore sur ces montures avec ressorts :
En septembre 2011, il se décide à emprunter le patronyme familial, et lance sa marque éponyme Lucas de Staël après deux années de recherche.
Son credo : la haute lunetterie 100% française, réalisée à la main à Paris.
Les matériaux sont de haute qualité : acier inox recouvert d'une fine couche de titane coloré.
Les montures sont découpées en Italie, soudées en France, colorées en Allemagne et assemblées dans l'atelier.
Sa première collection “Once upon a time…” offre une élégante prouesse technique qu’il définit comme étant « une pièce d’orfèvrerie qui allie souplesse et légèreté : classique et puriste. Un objet très confortable et aussi beau qu’un bijou ».
Elle allie plusieurs matériaux, acier/bois ou acier/cuir, se décline en 11 formes disponibles en 12 coloris : 7 coloris de cuir (essentiellement de veau et de chèvre) et 5 essences de bois (Merisier, Noyer, Erable, Wengé et Sapelli).
Ces pièces sont d'une grande légèreté tant les pièces posées (cuir ou bois) sont coupées ou plutôt tranchées avec la plus grande finesse.
Pour un premier essai, c'est un coup de maître puisque lors du dernier salon professionnel, il a obtenu un prix : le Silmo d'Or 2012 pour son modèle "LDS 05 Walnut" :
Lucas de Stael doit proposer sa première collection de solaires...
... donc une marque à suivre du coin de l'oeil !
Plus d'infos sur le site de Lucas : www.lucasdestael.com
Rédigé le 04/03/2013 à 06:00 dans B75's projects, Design, Luxe | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Cela faisait un petit moment que je ne vous avais pas proposé de découvrir de nouveaux horizons ou d'approfondir un territoire.
Il y a eu Majestic, Melinda Gloss ou Bold Boys pour le prêt à porter, Alexandre Vauthier pour la haute couture, Serge Lutens pour la parfumerie, Derome & Brenner pour la lunetterie, Camille Fournet pour la maroquinerie et bien évidemment Hermès.
A partir de demain et pour une semaine, je vous invite à entrer dans un autre univers, celui des odeurs, de la maison et du corps, mais aussi celui du voyage... l'univers de diptyque.
Pour s'imprégner au mieux de cet univers, rien de plus évident que de prendre les habits de celui qui souhaite vous faire partager son histoire, son âme, ses projets... aussi le blog s'habille des couleurs de la maison, ou plutôt de ses codes, et change de bannière.
Pas définitivement mais de façon éphémère, je troque le dessin réalisé par Isabelle Oziol de Pignol par celui des illustrateurs maison de diptyque.
A demain donc pour vivre ce voyage ensemble dans des habits de circonstance.
Rédigé le 17/02/2013 à 06:00 dans B75's projects, Beauté, Boutique, Design, Luxe, Shopping | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
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Cela faisait 7 ans que nous n'y étions pas retourné, L' et moi.
Il y a 7 ans, nous venions juste de nous connaître et avions fait une échappée pour le week end du 15 août. 7 ans plus tard, nous y avons fêté la nouvelle année.
Si je ne vous en ai pas parlé plus tôt c'était d'une part faute de temps, d'autre part s'éloigner de l'actualité liée à Depardieu et aux exilés fiscaux. Je n'ai aucune raison de m'exiler et de toutes les façons, même si j'étais dans la même situation fiscale, je ne me vois pas quitter Paris.
Pourtant, les Belges semblent m'apprécier comme le témoigne mon inteview dans Glow, le mensuel masculin.
Cela étant dit, 3 jours pour fêter la nouvelle année, changer d'air, faire un peu de shopping entre deux jours fériés.
Un bel hôtel 5 étoiles un peu vieillissant, le Plaza,
des balades en ville pour du shopping entre Hermès qui présentait une pièce de Petit H à 190.000 euros, Abercrombie qui nous accueille avec une statue virile et ces drôles de boutiques comme celle spécialisée dans la babouche
des visites dans la ville au style Art Nouveau, à l'Atomium, le musée d'art contemporain, des galeries joliment décorées, et bien évidemment le Manneken Pis
de la nourriture entre frites et gaufres, l'excellente patisserie "Wittamer", le chocolatier Patrick Roger, mais aussi ce délicieux restaurant qui nous a accueilli le 31 décembre au soir, "Bonsoir Clara", ou bien encore le Comic' café
Et puis il y a bien sûr tout cet univers autour de la BD présent dans toute la ville
Je ne pense pas que nous attendrons encore 7 ans pour y retourner...
Rédigé le 24/01/2013 à 06:00 dans Boutique, Design, Hermès, Hôtel, Mode, Restaurant, Shopping, Soirées, Voyages | Lien permanent | Commentaires (11) | TrackBack (0)
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Vous souhaitez la bonne année c'est bien mais j'avais omis de vous présenter comme tous les ans, les cadeaux que nous nous étions faits L' et moi.
Allez petit panorama rapide.
D'abord un bon dîner entre nous deux, à la maison
et bien sur échange de cadeaux entre chaque plat, avec dvd ou musique, du gel douche Terre d'Hermès pour compléter la gamme, le sablier Diptyque, un porte-cartes Prada, une pochette Fauré Lepage, un mug Bleu d'Ailleurs Hermès, un kit de cuisine moléculaire avec livre, ustensiles et ingrédients...
... et un week end à Bruxelles pour le 31 décembre (mais je vous en reparlerais)
Ah et j'oubliais, je me suis offert le Leica D-Lux 6 (toutes les photos prises désormais viennent de cet appareil)
Rédigé le 01/01/2013 à 19:00 dans Beauté, Cinéma, Design, Hermès, Hi-tech, L' et moi, Loisirs, Luxe, Mode, Musique, Prada, Shopping, Soirées, Voyages | Lien permanent | Commentaires (9) | TrackBack (0)
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Vous connaissez tous l'histoire de Fabergé, rendu célèbre pour ses oeufs. Offerts par un tsar de la Russie Impériale à sa tsarine ou par un admirateur en signe de son affection à Elizabeth Taylor, les cadeaux sont indissociables de l’histoire de Fabergé depuis plus de deux siècles.
Aujourd’hui, Fabergé perpétue cette tradition en créant de précieux bijoux destinés à une nouvelle génération de passionnés.
Les collections de joaillerie de Fabergé, ainsi que les montres et accessoires pour hommes, sont proposés dans les boutiques Fabergé à Londres, Genève et New York ainsi que dans les points de vente du joaillier chez Harrods à Londres et Lane Crawford IFC à Hong Kong. Une sélection d’articles est également disponible via la boutique en ligne Fabergé à l’adresse www.faberge.com
Bagues, boucles d'oreilles et collier :
Bijoux ou gobelets en émail :
Et bien sûr des oeufs ...
Je n'oublie pas non plus les hommes avec ces modèles de boutons de manchette :
Rédigé le 22/12/2012 à 13:00 dans Design, Luxe | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Retour sur la semaine passée et puisque le blog est le "magazine de ma vie parisienne", j'avais envie de vous conter ma dernière soirée amusante.
Une invitation à une soirée Hennessy ne se refuse pas, car, d'une part, la marque jouit d'une belle image, d'autre part, le carton prévoyait un grand nombre d'animations sur le thème du street art, toute la journée, et enfin elle proposait une occasion de sortir le lundi, traditionnel jour de relache, dans un lieu que je ne connaissais pas : la Générale, un ancien entrepôt industriel du 11ème arrondissement,... de quoi bien débuter la semaine.
L'enjeu était le lancement de la nouvelle bouteille de cognac revue et corrigée par Futura : la Hennessy Very Special Limited Edition.
Et là j'imagine tout le brainstorming qu'il a été nécessaire aux têtes pensantes de la maison de spiritueux pour déringardiser le cognac, perçu par les plus jeunes comme un produit pour vieilles personnes qui le sirotent pur, le soir au coin d'une cheminée, tapis dans leur fauteuil de cuir ou pire dans un canapé en velours sentant bon le chien chasseur mouillé, à moins qu'il ne s'agisse de vieux japonais goûtant un XO dans une carafe en cristal de Baccarat...
L'idée fut donc de le jeunifier, de le hypiser en proposant à un célèbre artiste du street art de dessiner l'étiquette et de vendre le produit chez Colette : jeune et hype à la fois, pari gagné.
Pour faire aussi moderne que SPORT 2000 pour le sport ou optic 2000 pour les lunettes, Futura sera le pendant pour l'aspect arty. J'avoue qu'avant cette fameuse soirée, je ne le connaissais pas.
C'est donc avide de curiosité que je me suis rendu avec L', et le journaliste et néanmoins ami, Yves Mirande (qui propose une chronique mode masculine pour France Inter), également à la soirée de lundi dernier.
Nous n'étions pas les seuls puisque nous y avons croisé Breakbot, Pedro Winter alias Busy P et Uncle O qui ont fait dansé toute la soirée une foule composée d’artistes issus de la musique et du design, de beautiful people et d’amis de Futura dont : les artistes Os Gemeos et Fafi, Kavinsky, C2C, Emilie Simon, Marco Prince, Emmanuel de Buretel, Irfane, le photographe Richard Schroeder et Florence Dauchez, DJs Pone et Marco dos Santos, Baptiste Lorber et Thierry Lasry.
Et de me confirmer à moi - même que je reste, malgré ces années parisiennes, le bon provincial.
Et de un, première erreur : ne pas tout miser sur les souliers richelieu brodés de cuivre de chez Lanvin alors qu'à ces soirées, compte tenu de la foule présente, il faut surtout miser sur le haut. Soit comme Futura porter le cheveu long, soit arborer la moustache ou la barbe, soit porter un couvre chef au choix petit chapeau façon retour de chasse, bonnet de laine annonçant l'hiver ou la casquette, à la condition d'être rappeur. La confirmation absolue fut de constater qu'un des invités portait une veste et une chemise chic et recherchée alors même qu'en bas, un short chiffonné suffisait à couvrir ses cuisses.
Et de deux, ne pas chercher à socialiser : sauf à être représentant de chez Hennessy et rencontrer quelques contacts, pour les autres le seul fait de s'approcher d'une personne peut sembler suspect... entre la femme qui n'aura pas voulu laisser son grand sac au vestiaire qui exigera alors que nous l'aurons à peine effleurée "dites pardon d'abord", au jeune branché qui s'inquiétera que nous lui demandions si sa veste est en tweed, ou à motif chevron ou en tweed à motif chevrons (alors même que les trois verres déjà ingurgités nous excusaient véritablement)
Et de trois, ne pas seulement guetter les serveurs allant et venant avec des plateaux remplis de bonne nourriture mais également s'inquiéter de repartir avec le cadeau de la soirée : un coffret Hennessy personnalisé par Futura, assemblé sur le mur comme des briques, et donc repartir à vide.
Enfin, ne pas chercher absolument à rejoindre l'extérieur pour se rafraîchir quand à l'intérieur la température monte sous le son de DJ Pedro Winter, car le dehors en question est le fumoir et que finalement vous n'avez jamais fumé mais que vos vêtements viennent de prendre une odeur indélébile... sauf à s'asperger de Fébrèze...
Malgré tout, nous avons évité l'erreur suprême de venir seul car à plusieurs tout est tellement plus drôle et permet d'avoir de longues conversations autour d'un bon verre de cocktail cognac au Berry ou à la pomme en devisant sur le fait de savoir si "le hipster est-il le nouveau bûcheron?" ou bien encore "l'épure est elle le nouveau minimalisme?"... de ces questions et bien d'autres encore, je vous laisse m'apporter vos propres réponses...
Nous en reparlerons à une prochaine soirée parisienne
Rédigé le 29/10/2012 à 06:00 dans Chronique, Design, Soirées | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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C'est toujours sur le thème du voyage ... et de ses Turbulences que cette exposition nous unitie au travers de 12 oeuvres contemporaines.
J'ai retenu quatre oeuvres qui m'auront fasciné, hypnotisé, perturbé... et entraîné dans ces turbulences.
Tout d'abord l'oeuvre de Petroc Sesti "Literal Form" : un vortex dans une sphère posé sur un cube miroir qui capte notre image et Paris
Puis les "Tours Morphiques - Deux Spirales Montant" de Sachiko Kodama qui nous présente un jardin recouvert d'un fluide, une solution colloïdale de nanoparticules ferromagnétiques qui créent des sculptures de pointes mouvantes
Les cubeslumineux de Angela Bulloch "Progression de 8 pixels pervetis" ont fait écho avec l'oeuvre de Piotr Uklanski, découvert au Palazzo Grassi, un jeu sur la couleur et la lumière :
Et puis l'infini fragile de Zilvinas Kempinas et "Lemniscape" où deux ventiulateurs maintiennent en l'air une bande magnétique
Je suis aussi resté fasciné par l'oeuvre de Ryoichi Kurokawa "Rhéo : 5 horizons" à découvrir également sur youtube :
Il reste 3 semaines encore, jusqu'au 16 septembre pour en profiter.
Merci à Claire pour la visite personnalisée.
Rédigé le 26/08/2012 à 06:00 dans Design, Expos | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 12/08/2012 à 06:00 dans Design, Hermès | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Rien de mieux qu'une belle terrasse à Paris, un soir d'été pour se sentir déjà en vacances.
Fort de son succès de 2011, Martini réitère l’expérience et transforme la mythique adresse du 50, avenue des Champs-Elysées (ex Terrasse Martini de 1948 à la fin des années 90) en nouveau spot branché du quartier des Champs-Elysées du 11 juin au 12 juillet 2012.
La Terrazza Martini Champs Elysées sera à coup sûr LE lieu « trendy » de l’été où déguster un Martini Royale avec une vue imprenable sur Paris avec une programmation musicale à la pointe de la hype.
Je l'ai testée mercredi 13 au soir. Le temps n'était pas forcément au rendez vous mais la vue imprenable sur Paris, le cocktail offert et l'ambiance musicale nous ont bien réchauffés.
Ouvert du lundi au samedi de 19h à minuit.
Inscription depuis le site internet www.martini-royale.fr (site accessible quelques jours avant l’ouverture) exclusivement réservé aux personnes majeures (le nombre de participants par soirée est limité).
Rédigé le 10/06/2012 à 06:00 dans Design, Restaurant, Soirées | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
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