Finalement, c'était une bonne idée que d'enlever le prénom car Yves Saint Laurent n'aurait pas forcément retrouver son homme dans cette collection.
A la regarder, j'ai la furieuse impression de me retrouver dans une faille spatio-temporelle qui me renvoie en 2005, à l'époque où Hédi Slimane officiait pour Dior Homme. Les sihouettes reprennent l'essentiel de ce qui se faisait à l'époque avec une transposition à los Angelès. Une chose est certaine, ce qui était désirable en ce temps là a depuis été copié par de nombreuses maisons.
Comment reprendre les codes installés dans une autre maison, codes si forts qu'ils ont marqué les années 2000, sans se plagier soi même ?
Plutôt que d'enlever "Yves", il aurait été plutôt sage de dénommer la ligne "Dior par Saint Laurent" !
Et quelques détails en complément :