Mardi soir, invitation par Arte à visiter l'exposition Edward Hopper qui a débuté le 10 octobre et se prolongera jusqu'au 28 janvier 2013, au Grand Palais.
Première impression : pour en avoir tellement entendu parlé partout, au bord de l'"hopper"dose, je n'avais pas réalisé que l'exposition n'avait pas encore débuté...
Seconde impression : alors que les spécialistes nous annonçaient que l'exposition mettait en lumière justement la lumière peinte par l'artiste, j'ai certes repéré la lumière mais une lumière froide... même sur les toiles où les personnages s'exposent au soleil, l'ensemble demeure froid. Et même si Hopper peint beaucoup au travers des fenêtres, elles manquent sans doute de rideaux pour réchauffer le tout...
C'est donc une exposition qui n'a pas déclenché chez moi d'émotions, ou à tout le moins une impression de solitude, de lenteur, de torpeur voire de mort tant les corps peints semblent immobiles, figés.
Mais ce ne sont que mes impressions... allez y faire votre propre opinion.
Enfin et comme le dirait si bien les personnages, et comme cela a été écrit dans le livre d'or : "mais où sont les amuse bouche?". Pas au Grand Palais ce soir là!
Puisque l'exposition est donc ouverte au public, vous pouvez vous documenter au préalable, en regardant le documentaire de Jean-Pierre Devillers "La toile blanche d'Edward Hopper" (2012 - 52 min) qui sera diffusé aujourd'hui, dimanche 14 octobre à 16h45 sur Arte. Le film sera aussi disponible en DVD le 6 novembre (20 euros).