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"Je me réfugie dans le beige parce que c’est naturel », disait Gabrielle Chanel.
Jacques Polge, le nez de la maison, propose un bouquet de fleurs blanches plein de soleil, d’une lumière de bord de mer sans jamais tomber dans un exotisme caricatural. Dans ce « floral miellé » se nichent l’aubépine après l’orage, la fleur de frangipanier, le lys, l’héliotrope, l’ylang-ylang, le jasmin et au final, un accord aux accents de miel.
En vente à partir du 20 février dans les boutiques Chanel.
En bon breton, je ne peux que me réjouir des fêtes de la Chandeleur et de ces invitations à des crêpes Party.
A force cependant, cela ressemble presque à une bataille, à une série de dégustation.
Que ce soit les crêpes de Bruno belles et épaisses, celle d'Hervé délicieuses et aplaties ou celles de Mauboussin flambées au Grand Marnier, nous aurons eu un bel échantillon de la délicieuse pâte.
Après la Galette des Rois, la crêpe de la Chandeleur, que vais je déguster pour la Saint Valentin?
Trop tard pour courir les vitrines à la recherche du cadeau de la Saint Valentin. Il reste à lécher celles-ci que je trouve très réussies!
L'Optimum spécial mode avec Benicio Del Toro et L'Officiel Hommes n°15 avec Andres.
Alors que les portefeuilles en action ont fondu comme neige au soleil, j'ai préféré investir dans un portefeuille siglé.
En cuir et toile argentée, un portefeuille pratique et original qui se fiche du CAC 40!
Exposition temporaire à Beaubourg consacrée au designer Ettore Sottsass, décédé en 2007.
De Valentine (une machine à écrire rouge) à Memphis (collectif de designers qui aura bouleversé la création de mobiliers), ses créations parcourent le temps dont ces céramiques intemporelles.
Jusqu'au 31 mars.
Même chez Gap. Décidément elle va vraiment revenir cette voiture.
Le spectacle donné au Chatelet s'annonçait détonnant : l'oeuvre de Monteverdi du XVIème siècle revu et corrigé par le metteur en scène Oleg Kulik devait faire parler de lui.
Cet artiste ukrainien s'est fait connaître l'année dernière après le "scandale" de ses photos qualifiées de zoophiles, à la FIAC.
Il nous promettait notre "première liturgie spatiale". Notre esprit, sans doute trop lourd, n'aura pas décollé.
Cette musique sacrée, magique, profonde n'a pas été transcendée par les effets lumineux, les fumigènes sortat du lustre ou es chanteurs éparpillés dans tout le théâtre et notamment parmi le public. Sur scène, seul l'orchestre permettait de trouve ru repère et quelques funambules.
L'oeil s'éparpille et l'oreille devient distraite.
Seul expérience amusante : l'entracte et le choeur tantrique tibétain Phurpa.
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