Depuis quelques semaines, les termes écologie, développement durable, produits verts... sont utilisés à toutes les sauces.
Alors j'ai eu l'envie moi aussi, pour faire genre, d'avoir le verbe vert et vous propose ma ver-sion des faits, sans ver-sifier!
Le prétexte, la soirée d'anniversaire d'Olivier samedi dernier, pour ses 33 ans, sans doute à cause de toute cette chlorophylle inhalée.
Pour bien faire, nous nous retrouvons à Bois Colombes (le bois c'est vert?), partis en train, sans carte ver-meil, moins polluant que de voitures et faute de vélib' transfontalier, avec L' et Laurent, plein de ver-ve, pour une ascension à la vert-icale, au 8ème étage d'un immeuble, avec, passé la ver-anda, une terrasse de 120 m2 "paysager", sans être un ver-ger, et un parterre de très belles plantes, ou de jolis ver-tébrés, c'est vous qui jugez.
La vue sur la Capitale, la Tour Eiffel scintillante, la nouvelle tour à la Défense, les feux d'artifice tirés au loin (un 15 septembre?!), donnaient un caractère vert-igineux à la soirée, renforcé par les bulles emprisonnées dans nos verres à champagne.
C'est sans ver-gogne, que nous avons mangé, bu, ri toute la soirée, méritant pratiquement de prendre un ver-mifuge, le lendemain pour exterminer toutes les toxines ingurgitées.
N'étant pas ver-satile, je ne peux que confirmer que nous étions ver-nis d'être aussi bien accompagnés, de gentils garçons aussi bien élevés que des ver-saillais.
Nous sommes cependant restés ver-tueux, comme de bons élèves, en prenant l'autre ver-sant , dans le dernier train, nous ramenant vers la capitale, un peu ver-moulus, laissant ainsi nos nouveaux amis continuer la fête sans nous.
Ver-dict : une très belle soirée, en espérant qu'Olivier vieillisse plus vite et que je n'ai pas été trop ver-beux.