Depuis le 28 mars et jusqu'au 2 juillet, se tient au Grand Palais, une exposition sur le Nouveau Réalisme, mouvement qui regroupe un grand nombre d'artisites des années 50 et 60 tels que Arman, César, Nikki de Saint Phalle, Christo...
Désigné ainsi par un critique d'art, Pierre Restany, ce mouvement se caractérisait par des manifestations spectacle ou des actions spectacles difficilement cernable lors de cette expo, mais aussi par des compressions, des accumulations, des décollage et la lacération d'affiches, des assemblages...
Un vrai beau parcours qui nous replonge littéralement dans cette époque avec énergie, force et couleurs.
Comme je l'ai déjà mentionné ici, deux amis ont récemment achetés dans mon quartier : Bruno pour lequel nous suivons le chantier des travaux semaine après semaine et Nico, installé depuis peu.
Rien de plus simple et de plus agréable que de passer chez l'un ou l'autre, pour prendre un thé, discuter, rire et surtout profiter des ambiances différentes. Une sorte de regroupement de Desperate Houseman!
Le plus du moment : les sublimes panneaux vietnamiens en laque et nacre, ramenés par les parents de Nico, pour un bon fou rire.
Date de sortie : 04 Avril 2007
Réalisé par Eric Civanyan
Avec Sandrine Bonnaire, Pascal Légitimus, Anne Parillaud
Film français.
Genre : Comédie, Famille
Durée : 1h 36min.
Année de production : 2006
Film pour enfants à partir de 6 ans
Distribué par TFM Distribution
Le speech allociné : Trois familles d'aujourd'hui, très différentes, sont confrontées à un seul et même problème : leurs enfants ont pris le dessus...
Et puis un jour, tout bascule ! Une goutte d'eau qui fait déborder le vase, une bêtise de plus, un mensonge de trop et voilà que les adultes décident d'unir leurs forces pour rendre à ces petits diables en culottes courtes la monnaie de leur désobéissance...
Entre les enfants rois et les parents rebelles, désormais, tous les coups sont permis !
Un film dans l'air du temps comme peut en témoigner la multiplication des émissions de télé sur le sujet comme "Super Nanny" ou "le grand frère". Le film traite donc de la perte de l'autorité parentale avec une forme de caution jouée par la psychologue qui resitue chaque scène.
Une façon un peu détournée pour les parents y emmenant leurs enfants de faire passer le message.
Une gentille comédie à tendance thérapeutique, avec un casting éclectique (Bonnaire et Parillaud avec Légitimus et Pierre Cassignard sans oublier la très vaudevillesque Michèle Garcia, et un public qui l'est également : enfants, parents et moi (qui n'a pas envie d'avoir d'enfants entre 10 et 18 ans!)
Non, je ne vous fais pas du langage sms juste pour vous tracasser mais bien au contraire pour vous donner une info sur le nouveau parfum de Calvin Klein ou plutôt les nouveaux parfums : pour lui et pour elle.
Forcément quand la marque lance un parfum, son retentissement est important.
Je me rappelle de l'époque où`je me faisais fournir des Etats Unis, le parfum Obsession pour homme de la ligne principale (Calvin Klein), puis le lancement de CKone en 1996 qui a révolutionné le monde de la parfumerie avec sa vision androgyne et rock. (au passage toujours porté par Langue de Python)
Ce nouveau parfum abandonne le mixte pour proposer un parfum pour lui et pour elle, et au concept (attention ça se complique) de la connexion des uns et des autres, avec les sms (tiens je l'ai déjà dit), les chats (prononcez t'chatte) et les blogs (tiens je parle de moi).
Un parfum actuel pour les connectés.
Pour l'illustrer, deux nouvelles icônes : Kevin Zegers, vu dans le film Transamérica et la sublime Freja Beha, vu ici (forcément).
Pour les garçons, c'est oriental boisé frais et pour les filles, c'est floriental frais mais allez plutôt le sentir en parfumerie et découvrez la nouvelle campagne de pub...
Depuis quelques semaines déjà, tous les mercredis soir, il apparaît, sur nos écrans, vêtu d'un gilet à rayures, le tatouage "marcel", une barrette dans les cheveux et un ukulélé comme accessoire.
Qui est ce garçon atypique qui, au vu des blogs qui l'exposent et de la vague médiatique autour de lui, risque d'être notre future nouvelle star 2007?
Ce jeune nîmois de 24 ans, étudiant aux Beaux Arts n'est pas un vrai débutant.
Forcément un tel univers décalé ne s'est pas développé en 3 semaines grâce à une émission de télécrochet et après quelques recherches, le Julien, Julien Doré (aka Julian de Burchi, alias Julian Goldy) est le chanteur de deux groupes :
- Avec son ami Guillaume de Molina, il a créé The Jean D'Ormesson Disco Suicide ou Jean D'Ormesson's est un groupe concept à évolution maléable, aux sonorités de rock sudiste, de blues, dont le premier EP "Disco Suicide" se compose de cinq titres enregistrés avec la notion de "Cover Southern Concept". On y retrouve une reprise de "Born to be Alive" ou bien "Funny Fishy Pussy" qu'il a interprété devant le jury.
Les influences sont très nombreuses puisqu'elles vont de Nick Cave, Christophe, Neil Young, Black Rebel Motorcycle Club, Black Keys, Herman Düne, Devendra Banhart and all Road Movie Southern Black Rock N'Roll...
Pour découvrir les 5 titres, cliquez sur : http://www.myspace.com/thejeandormessondiscosuicide
- l'autre groupe créé en 2002 alors qu'il avait 19 ans, est Dig up Elvis, (Déterre Elvis) et tourne en Belgique en 2004, avec des influences similaires dont Elvis Presley, Jon Spencer Blues Explosion, Sonic Youth, The Velvet Underground, Nick Cave, Jonathan Fire*Eater, Joseph Arthur, The Black Keys, The Mooney Suzuki, The Willowz, Coluche, plus rock.
Date de sortie : 04 Avril 2007
Réalisé par Alexandra Leclère
Avec Christian Clavier, Nathalie Baye, Gérard Lanvin
Film français.
Genre : Comédie
Durée : 1h 35min.
Année de production : 2007
Distribué par Wild Bunch Distribution
Le speech allociné : Jean-Pierre Ménard, las de voir sa femme lui refuser le "devoir conjugal", décide de lui couper les vivres en instaurant une nouvelle règle entre eux : "Pas de cul, pas de fric !"
Si le film est caricatural, misogyne et fini comme une grosse farce, j'en ai retiré de très bonnes choses :
- un Christian Clavier qui retrouve enfin un bon rôle, en finesse et mesure (les premières scènes avec lui sont délicieuses notamment celle du vol de la carte bleue), une Nathalie Baye un peu paumée mais sensible, Gérard Lanvin toujours aussi lourdeau et enfin Géraldine Pailhas dont le rôle plus secondaire aurait mérité d'être plus exposé
- un humour grinçant voire cynique, parfois très dur mais qui a le mérite d'être direct
- des scènes hallucinantes dont celle qui m'a fait le plus mal : celle où toute la penderie de Mme Ménard part aux ordures (aîe). La dernière partie du film et sa fin sont malheureusement moins bien écrits que le début.
Cette comédie de moeurs semble bien démarrer si j'en crois la foule dans la salle, constituée à 90% de couples entre 40 et 50 ans. Y'a t'il un effet miroir?
Une séance qui vaut le prix à payer pour la voir (même si pour moi c'est gratuit).
Ce n'est pas le titre d'un film porno avec gros godillots, scènes de cul dans les caves ou sur l'échelle du peintre mais tout simplement notre visite hebdomadaire du chantier du futur appart' de Bruno, situé à proximité du mien. A priori, il reste un mois encore de travaux pour enfin découvrir ce nouveau lieu où nous pourrons très certainement organiser des fêtes (à minima une crémaillère).
Deux nouveaux lieux visités jeudi dernier, sur Orléans, avec Nico et Séverine. Le Vol terre est un des nombreux restaurants situés rue de Bourgogne (n°253 ) et propose une carte insérée dans des bandes dessinées simple, sans raffinement mais solide : à savoir des plats à base de pomme de terre, des plats rustiques ou bien encore de nombreuses préparations bio ou végétariennes. En apéro, nous avons succombé au vin naturel pétillant.
Le décor semble lui aussi sorti d'une bande dessinée puisque les murs sont très colorés. Un petit mot pour le service puisque la serveuse semblait sortie plutôt d'un manga ou tout du moins d'une page d'un comic grungy : cheveux roux en pétard, tatouage et percing sur la lèvre.
Nous continuons ensuite au Bel Air, un bar situé au 44 rue du poirier qui veut copier le concept des lieux lounge parisiens, en y passant une compil' du moment, une déco. aux accents rouges mais cheap et surtout avec les mêmes prix que les fameux lieux parisiens.
A l'arrivée, le lieu non chauffé et peu fréquenté est un peu froid. La température augmente avec l'arrive de fraises tagada à notre table. La carte des cocktails avec ou sans alcool est plutôt riche mais plutôt chère également.
Le service est attentionné mais l'ambiance générale absente pour cause de jeudi soir sans doute.
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