Certains pourraient s'étonner des derniers articles évoquant le théâtre, l'opéra, les expositions, le cinéma... comme une forme d'éloignement de la ligne éditoriale principalement consacrée à ma vie de shopper dans les boutiques de luxe de la Capitale.
Pour tout dire, après la frénésie de soldes, une période de latence s'installe entre des stocks de vêtements consacrés à la mode hivernale désormais dépassée et les collections printemps été à peine installées en boutiques.
Effectivement, des collections cruise (notamment chez Gucci, et Dior Homme pour la 1ère fois cette année) permettent de patienter mais le nombre d 'articles demeure limité et ne peut suffire à calmer l'envie et la fièvre acheteuse.
Samedi, je suis donc revenu sur le terrain du shopping pour m'attaquer à gros : le flagship Louis Vuitton.
Alors, je dois l'avouer, depuis son ouverture depuis 2 mois, je n'étais pas entré dans cette boutique car je me refusais à faire la queue pour y entrer.
Après un rapide passage chez Ladurée pour l'achat de leurs exquis macarons, direction l'entrée de l'antre de la toile enduite.
Ma bonne étoile était là puisque aucune file d'attente n'a pu arrêter cette expédition qui allie mode et architecture.
Le lieu est sublime et les architectes Eric Carlson et Peter Marino en ont fait un extraordinaire supermarché du luxe de 1800 m2. L'un des éléments est cette peau métallique monogram qui recouvre de nombreux murs.
Je suis donc devenu infidèle à Hedi (Slimane) et à Miuccia (Prada) en découvrant la collection printemps été dessinée par Marc Jacobs, et en repartant avec un petit polo en soie bleue.
Vivement les beaux jours