Deux soirées Rive Gauche qui combinent les arts avec le poète Nizima Gandjavi et la nourriture avec Gilles Vérot, dans deux lieux d'exception : le musée des Lettres et Manuscrits et le Café de Flore.
Comme dans les discothèques de province avec leurs deux salles / deux ambiances, je me suis retrouvé éhgalement dans le même quartier avec deux ambiances bien différentes.
Tout d'abord invité par l'Ambassade d'Azerbaïdjan au vernissage de l'exposition consacrée au poête Nizami Gandjavi, à l'occasion de son 870 ème anniversaire, dans un endroit que je ne connaissais pas, située Hôtel de la Salle, dans le musée des Lettres et Manuscrits.
Endroit superbe et petits fours orientaux... un vrai dépaysement
Autre soirée au Café de Flore, dans une ambiance très germanopratine, afin de fêter les 30 ans de métier de charcuterie de Gilles Vérot et y goûter le fameux pâté en croûte cochon / foie gras, une recette primée en 2011 au championnat du monde éponyme.
Accueilli par le couple Vérot, j'y ai croisé Pierre Arditi et Evelyne Bouix, Jean Pierre Coffe et bon nombre de gourmands sous le patronage de la délicieuse Valérie Solvit, en véritable "Vénus à la fourrure"
Il flotte comme un parfum des années 30 dans
l'air de Paris...
Il y a bien sûr, dans nos cinémas, le film
de Baz Luhrmann, Gatsby, qui nous fait revivre en 3D et en couleur cette
époque, avec une bande son reboostée au rap.
C'est aussi l'ancienne piscine privée du Lutétia, construite en 1935, investie par Hermès au 17 rue de Sèvres et qui proposait l'autre jour l'installation permanente de Petit H...
Ou bien encore l'exposition Tamara de Lempicka à la Pinacothèque de Paris, la Samaritaine au passé et futur, exposée au Pavillon de l'Arsenal... les 92 ans de Chanel n°5 au Palais de Tokyo ...
Et puis il y a la réouverture de l'hôtel
4 étoiles Prince de Galles ou PDG pour les intimes (Starwood Hotels and Resort), situé avenue George
V à Paris, qui a rouvert ses portes courant mai, après plus de deux ans
de travaux,
Deux ans de travaux et une invitation pour
une soirée à le découvrir et me mettre ainsi dans la peau d'un Gatsby!
Alors que je connais le George V et son restaurant,
je n'avais jamais eu l'occasion d'entrer au Prince de Galles avant les
travaux.
Finalement ce n'est pas plus mal car j'ai
ainsi pu découvrir un nouveau lieu, même si celui ci construit en 1928
a revisité le style Art Déco en conservant ce qui en fait le charme, l'ADN
tout en modernisant ce qui devait l'être.
J'ai ainsi pu découvrir l'ensemble des lieux.
Le rez-de-chaussée, accueillant bar et restaurant,
a été confié à Bruno Borrione, qui a notamment œuvré au Meurice, autre
lieu que je vous avais déjà fait visiter.
Le nouveau restaurant, avec "cuisine ouverte" et 40 à 50 couverts, sera dirigé par Stéphanie Le Quellec, ex-lauréate de l'émission de cuisine Top Chef, passée par les cuisines du Four Seasons Resort de Tourrettes dans le Var. Je n'ai pas encore goûté à la cuisine ce qui justifiera une nouvelle visite pour une publication à la rentrée.
Sans oublier le bar de l'hôtel, un des lieux les plus convoités
Et puis il y a le patio qui attend ses premiers rayons de soleil pour que je puisse venir lézarder
La rénovation des chambres et du lobby a été confiée à l'architecte d'intérieur Pierre-Yves Rochon, qui a décoré deux récents 5 étoiles (Shangri-La à Paris et l'Hôtel Casino Barrière de Lille) ou encore les restaurants dirigés par Alain Ducasse, Joël Robuchon ou du Pré Catelan (Lenôtre, groupe Sodexo).
Les chambres dont
44 suites avec un duplex de 165 m2, ont des prix allant de 830 à 16.000
euros la nuit.
Un style Art déco qui évite l'aspect "antiquités"
pour nous plonger dans une ambiance chic, feutrée, chaleureuse, sans obstentation,
avec un charme anglais pour les chambres dans des tonalités de bleu ou
de beige.
De jolis éléments de décoration :
"Je souhaite que les clients reprennent possession de cette maison, terme qui évoque autant l'hospitalité que l'excellence du savoir-faire parisien. Je n'ai qu'une ambition: faire que nouveaux clients et habitués s'y sentent comme chez eux (...)", a expliqué Simon Rusconi, directeur général du Prince de Galles.
En tous les cas, je suis prêt à en prendre aussi possession de cette maison !
Si je vous évoquais ce matin Petit H, j'aurais du vous parler du cocktail car point d'inauguration sans petit four et coupe de champagne.
La soirée avait cependant ce supplément d'âme, à moins que ce ne soit un grain de folie, car Saint Clair, le traiteur, a réinterprété le buffet en Petit H... ou comment un artisan traiteur nous joue un atelier de re-création gourmande, avec amusement et goût subtil...
Ce homard qui se prend la tête,
Ces sardines en grille,
Cet osso bucco en peau d'orange,
ou bien encore ce cheese cake qui se fait la cerise, sur peau de crocodile en chocolat,
et ces fruits complètement givrés,
sans oublier les fraises au fond de la piscine,
J'en suis resté baba !
Je poursuis mon tour des villes où il est bon de s'exiler.
Après Bruxelles, le week end dernier fut consacré à la visite de Monaco, St Paul de Vence et de Cannes.
Avec L', notre point de chute fut Cannes et un hôtel très bien situé, le Canberra, tout en gris, noir et rose, avec piscine chauffée.
Après cette première bonne impression, nous avons eu quelques déconvenues.
- Dans le Sud, il fait bon même en hiver :
Comment porter ses cachemires, un blouson en agneau, de belles écharpes quand il fait bon ?
- Dans ces pays, les gens n'ont pas tous la télévision :
En pleine période du Midem, j'ai découvert que de nombreux cannois n'avaient pas de télévision chez eux et devaient s'agglutiner devant le Palais des Festivals pour apercevoir quelques peoples venus au NRJ Music Award. Certains ont du se faire bousculer car bon nombre hurlait à intervalles réguliers.
- Dans la ville, on ne mange pas de viande tous les jours :
Pendant ce temps, nous avons dégusté un incroyable chapon qui dans le Sud n'est pas un poulet mais un poisson vendu au poids, Chez Astoux, un très bon restaurant de coquillages, avec un service qui assure.
- Dans cette région, le luxe est mini :
Des boutiques de luxe... mais de toutes petites boutiques finalement où le choix est limité et comble de l'horreur, la boutique Prada ne commercialisait aucun modèle du défilé printemps été 2013 ! J'en ferais le même constat le lendemain à Monaco... des boutiques de luxe oui mais qui confirment qu'il y a de l'argent dans le Sud, mais pas assez pour avoir des flagships !
Autre élément étonnant : si Hermès, Vuitton, Prada et Gucci sont présents, le plus grand magasin de la ville est Zara, magasin de la marque qui réalise le plus grand chiffre d'affaires en Europe - dixit notre taxi. (oui je cite mes sources)
Au delà de l'imaginaire de princes et de princesses que l'on retrouve même sur le sol des jeux pour enfants,
il y a une vérité que l'on nous cache ou que l'on nous travesti et que je me devais de vous dévoiler.
- A Monaco, je n'ai vu que des barres d'immeuble :
Avec une assise de 2.000 m2 pour 35.000 personnes tout en concentration immobilière, nous avons l'impression d'apercevoir un bidonville. Si certains m2 se vendent 100.000 euros, certains immeubles transplantés dans le 93 seraient considérés comme des HLM...
- A Monaco, les princesses ne vivent pas dans la Tour :
Les princesses Stéphanie et Caroline ne vivent pas au Palais mais dans deux petites maisons à côté, comme le modeste personnel.
- A Monaco, l'actualité n'est pas la même :
Alors qu'à Paris les partisans défilaient pour le Mariage pour tous, nous assistions à une procession pour Sainte Dévote
Heureusement nous avons pu profiter d'un peu de luxe en nous réfugiant à l'hôtel Hermitage, dans le jardin d'hiver, au Limun en ingurgitant un hamburger et en goûtant à leurs desserts au Crystal Bar.
- la Culture n'est pas la matière qui s'étale le plus.
PsY pour la musique à Cannes, des dizaines de galeries d'art au goût douteux (genre une poire en bronze cerclée d'un string doré) à St Paul de Vence et le musée National de Monaco qui nous présente des maquettes miniatures pour Barbie.
Heureusement, nous avons découvert la Fondation Maeght à St Paul qui déborde d'oeuvres de Miro, Calder ou de Giacometti.
Bilan de ce week end : sympa mais moins luxueux que Paris donc pour l'heure, nous restons à Paris !
Cela faisait 7 ans que nous n'y étions pas retourné, L' et moi.
Il y a 7 ans, nous venions juste de nous connaître et avions fait une échappée pour le week end du 15 août. 7 ans plus tard, nous y avons fêté la nouvelle année.
Si je ne vous en ai pas parlé plus tôt c'était d'une part faute de temps, d'autre part s'éloigner de l'actualité liée à Depardieu et aux exilés fiscaux. Je n'ai aucune raison de m'exiler et de toutes les façons, même si j'étais dans la même situation fiscale, je ne me vois pas quitter Paris.
Pourtant, les Belges semblent m'apprécier comme le témoigne mon inteview dans Glow, le mensuel masculin.
Cela étant dit, 3 jours pour fêter la nouvelle année, changer d'air, faire un peu de shopping entre deux jours fériés.
Un bel hôtel 5 étoiles un peu vieillissant, le Plaza,
des balades en ville pour du shopping entre Hermès qui présentait une pièce de Petit H à 190.000 euros, Abercrombie qui nous accueille avec une statue virile et ces drôles de boutiques comme celle spécialisée dans la babouche
des visites dans la ville au style Art Nouveau, à l'Atomium, le musée d'art contemporain, des galeries joliment décorées, et bien évidemment le Manneken Pis
de la nourriture entre frites et gaufres, l'excellente patisserie "Wittamer", le chocolatier Patrick Roger, mais aussi ce délicieux restaurant qui nous a accueilli le 31 décembre au soir, "Bonsoir Clara", ou bien encore le Comic' café
Et puis il y a bien sûr tout cet univers autour de la BD présent dans toute la ville
Je ne pense pas que nous attendrons encore 7 ans pour y retourner...
C'était un peu l'arlésienne et puis le restaurant qui devait, dans un premier temps, s'appeler Ma Puce, a ouvert, courant octobre, sous le doux nom de "Ma Cocotte".
Ce restaurant imaginé par Philippe Starck nous propose 250 couverts dans un lieu qui nous rappelle Bon ou le Mama Shzelter : un grand espace ouvert, des canapés, des chaises hautes dans une inspiration industrielle aménagé avec des objets qui semblent dénichés dans des brocantes.
Vous n'irez pas spécialement pour la cuisine qui propose un cheeseburger, un poulet rôti ou un fish and chips, mais aussi pour le lieu lui même et l'ambiance au coeur du plus grand marché aux puces au monde.
Par beau temps, il sera aussi possible de profiter de la terrasse à l'étage
Au 106 rue des Rosiers, 93400 Saint Ouen.
Alors que la Fashion Week démarre aujourd'hui à Paris pour présenter les collections femme pour le printemps été 2013 et que des dizaines de rédactrices de mode, d'acheteurs, et tout l'aéropage des spécialistes du street style se bousculent, courent dans tous les sens, nous avons trouvé avec mon amie CAB, la meilleure façon de s'inspirer des tendances du moment, sans pour autant s'user à la tâche : déjeuner au restaurant l'Avenue, situé au 41 avenue Montaigne.
Bien évidemment, le lieu tenu par les frères Costes est un bon restaurant et très bien situé puisqu'à l'angle avec la rue François 1er. Il propose, à condition de déjeuner en terrasse, un des meilleurs poste de vue sur la mode.
Avec CAB, nous nous sommes donc positionnés comme de vraies sentinelles à scruter toutes les personnes qui passaient, repérant le bon accessoire, la bonne démarche, le bon style ... bien mieux que la lecture aseptisée d'un magazine de mode.
Nous avons donc proclamé ce restaurant le meilleur magazine de mode vivante!
Pas besoin de se fatiguer à feuilleter les pages, juste à faire rouler ses yeux de façon multi-directionnel!
Nous avons, quand même, pris le temps de goûter au thon mi-cuit!
Il vous reste donc à réserver également une bonne place en terrasse.
Budapest est une ville d'eau.
Nous avons ainsi pu profiter des nombreux bains à disposition partout dans la ville.
Si je vous parle de pain, je vous fais ma Marie Antoinette car il s'agissait surtout de la pâtisserie, des glaces et des plats copieux.
Enfin pour les jeux, entre feu d'artifice et les garçons à mater, nous en avons eu plein les yeux!
Rien de mieux qu'une belle terrasse à Paris, un soir d'été pour se sentir déjà en vacances.
Fort de son succès de 2011, Martini réitère l’expérience et transforme la mythique adresse du 50, avenue des Champs-Elysées (ex Terrasse Martini de 1948 à la fin des années 90) en nouveau spot branché du quartier des Champs-Elysées du 11 juin au 12 juillet 2012.
La Terrazza Martini Champs Elysées sera à coup sûr LE lieu « trendy » de l’été où déguster un Martini Royale avec une vue imprenable sur Paris avec une programmation musicale à la pointe de la hype.
Je l'ai testée mercredi 13 au soir. Le temps n'était pas forcément au rendez vous mais la vue imprenable sur Paris, le cocktail offert et l'ambiance musicale nous ont bien réchauffés.
Ouvert du lundi au samedi de 19h à minuit.
Inscription depuis le site internet www.martini-royale.fr (site accessible quelques jours avant l’ouverture) exclusivement réservé aux personnes majeures (le nombre de participants par soirée est limité).