Chez Versace, le too much n'est pas une découverte mais ce badigeon déçoit mais s'il serait parfait pour habiller les participants des émissions de Valérie Damidot
Du noir et blanc, du short... c'est bien une collection pour le printemps été 2014 puisque déjà vu à Londres et les premiers défilés milanais.
Les Hommes nous propose un homme sage en surface et certainement plus sombre avec ces empiècements en cuir ou cet imprimé feuillage. Un air de déjà vu chez Valentino
Jil Sander fait comme tout le monde et nous propose des jambes dénudées "chics". Un style épuré mais qui semble parfois daté. Mon coup de coeur : le costume gris étriqué, aux jambes raccourcies.
J'ai toujours aimé Costume National mais je n'ai jamais passé le cap d'en porter... pourtant cette allure de cow boy des temps modernes qui assume sa part de féminité me plaît bien...
A une époque dans la vie du blog, je présentais régulièrement mes avis sur les films vus et puis, sans doute faute de réaction des lecteurs, j'ai arrêté. Je reste cependant, un spectateur régulier puisqu'avec L', nous bénéficions d'invitations permanentes chez UGC.
Des derniers films vus, "Le Passé", "Gatsby", j'en ai gardé des souvenirs marquants.
Le pitch du film d'aujourd'hui ne correspondait pas vraiment à ma sensibilité : la plongée dans le monde du football avec ses relents d'odeurs de vestiaire, de haine et de racisme, d'argent fou ne me font pas fantasmer.
Il pouvait aussi m'évoquer mes jeunes années où mon seul désir était d'être exempté de sport.
Pour ce cas là, la perspective d'être invité en avant première à une projection et de me retrouver dans une salle confortable, entouré de critiques de films, hors de la foule du week end avec pop corn m'a séduit.
J'ai donc découvert un milieu inconnu pour moi au travers de l'histoire de JB, un jeune prodige de 16 ans repéré sur internet qui intègre un centre de formation pour devenir footballeur professionnel.
Réalisé par Vianney Lebasque et coécrit avec Mathieu Gompel, JB incarné par Paul Bartel capte immédiatement l'attention par sa sensibilité et du début à la fin, le spectateur aura envie de l'aider à réussir malgré un secret bien gardé.
C'est ainsi un parfait film d'ados, sans prétention, avec des personnages attachants, des personnalités marquées et des adultes absents hormis la présence surprenante d'Eddy Mitchell en coach bougon ou de Samy Seghir en entraîneur paumé. On savoure les scènes avant ou d'après match avec son lot de clichés (ambiance des vestiaires, langage cru...) et j'avoue même avoir été captivé par les scènes de match!
Mais ce serait surtout un très bon pilote pour réaliser une série pour la télévision où chaque semaine nous pourrions suivre cette bande d'aspirants au quotidien semé de troubles, de joies, de peines... Une idée à creuser...
Après tous ces films cannois de mai, un bon petit film d'été, à déguster tranquillement quand il fera chaud dehors.
J'avais prévu de sortir et même mis de côté ma pochette en cuir gris de chez Lanvin et puis au dernier moment, je découvre que Dallas, la suite va être diffusé à la télé...sur TF1 ce samedi soir...
Il me reste à endosser la tenue adéquate dont ce tee shirt Dallas, un jean usé, une paire de santiags et un stetson !
C'est ma rencontre avec Laetitia qui a ouvert un magasin d'optiques, Espace Optical, au 87 boulevard Richard Lenoir dans le 11ème, que j'ai eu envie de passer le cap.
Son regard avisé (normal me direz vous), un choix de marques intéressant outre les classiques Prada, Persol, Gucci, Tom Ford... et sa patience après mes nombreuses hésitations, m'ont permis de retenir deux modèles de vue.
Un premier modèle avec ses branches en métal et sa face en acétate de cellulose de la marque Italia Independant, la marque développée par l'héritier de Fiat, Lapo Elkann apporte un look classique modernisé.
Le second modèle est une paire en acétate de cellulose de couleur noire, ni ronde ni carrée de la marque Epos, une marque italienne également, installée à Milan. Des produits à prix doux pour un style raffiné.
Point commun entre les deux modèles : pas de marques affichées en grand sur les montures, un design chic avec personnalité.
Qu'en pensez vous ?
La boutique est ouverte du lundi au samedi de 10h à 19h30.
De Condensation il en était question au propre après une chaleur tropicale sur Paris, mes lunettes au verre flou en raison de cette fameuse condensation m'ont donné un autre regard sur le lieu qui réunit les seize œuvres
réalisées depuis 2010 dans le cadre du programme des résidences
d’artistes de la Fondation d’entreprise Hermès.
Le temps est passé à l'orage et la pluie a rafraîchi l'ambiance tout comme le champagne permettant à chacun de babiller d'une oeuvre à une autre, d'un invité à un autre. Des bulles de champagne et des bulles de parole qui en ce Palais de Tokyo m'amèneront à rencontrer une personne d'Azerbaïdjan, à évoquer le spectacle de Bartabas et Carolyn Carlson à la Villette, ou Andrej Preljocaj et son prochain spectacle "The Nights".
Finalement, nous aurons peu évoqué les oeuvres présentes et pourtant, elles nous ont conduit « au cœur de la matière » comme Petit H : du cuir, de la soie, du cristal, du métal argenté, au coeur de ces oeuvres réalisées par de jeunes plasticiens partis à la rencontre des artisans dans les sites Hermès.
Je suis reparti le coeur léger, sous un ciel sans nuages...
Oliver Beer - "Silence is Golden", aux Cristalleries Saint Louis
Marine Class - "Reliefs de Table", chez Puiforcat
Félix Pinquier - Station, à la Maroquinerie de Belley
Oh You Kyeong - "Pagodes de la Lunes", chez Puiforcat
Emilie Pitoiset - "Giselle " à la Maroquinerie de Pierre Bénite
et mon préféré : Benoît Piéron - "Le Lit" au pôle soie et textile
Chaque œuvre fait l’objet d’un Cahier de
résidence, publié aux éditions Actes Sud et accompagné d’un DVD
documentaire.
Au Palais de Tokyo, Paris, France 13 avenue du Président Wilson, 75116 Paris
Ouvert tous les jours sauf mardi, midi - minuit Du 21/06/2013 au 09/09/2013
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