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Brieuc dans le journal ... Challenges

Ce n'est pas encore le journal... de Claire Chazal mais petit à petit mon press book s'épaissit.

Ainsi après Maison Française, ou Glow, me voici dans le Challenges n°319, du 31/10 au 07/11/12 et puisque je suis Brieuc, me voici à la page 75.

 

Celui qui se retrouvait au concert de Camille à l'Olympia

Par L' (mais retouché par Brieuc)

Une chanteuse, française au demeurant, a rarement les honneurs de ces pages, en dehors de Mylène Farmer ou autres i-connes, point de salut !

Il a donc fallu que je traîne Brieuc à ce concert où nous étions invités. Pour tout dire, pour ma part, j'attendais avec impatience de découvrir, sur scène, cette artiste que j'écoute depuis son premier album.

Pour son premier concert à l'Olympia, ce 23 octobre dernier, point de people mais une salle comble très hétérogène, de très jeunes à beaucoup moins jeune, un public familial composé d'instit', de cadres tout juste arrivés de la Défense (ne me demandez pas comment je repère les professions), des bobos (en somme nous avions l'impression de descendre à la station Lamark Caulaincourt!!)... et Brieuc.

Une première partie cool mais sans grand intérêt sauf pour le chanteur qui pourra avoir son nombre d'heures pour le régime intermittent car il n'est autre que le frangin de la tête d'affiche. Et de nous interroger, pendant qu'il nous sussurre un poème, sur la façon de vivre la gloire de sa soeur quand soi-même on est chanteur inconnu... mais c'est un autre sujet.

Elle arrive enfin, pieds nus (sans doute imaginant qu'en faisant comme Yannick Noah, elle sera un jour numéro un dans le coeur des Français) et de vouloir nous prouver qu'elle est une ... lumière !

Pour jeu de scène effectivement, un grand drap jaune sert de décor de fond et pendant un bon tiers de son spectacle, avec l'aide d'une ampoule géante, elle nous fera le coup des ombres chinoises.

Ainsi, elle prend la scène et l'espace nus comme ses pieds, accompagnée de trois musiciens : elle joue de la lumière, des ombres, des corps... et de sa voix, tout est musique !

Elle semble invoquer les esprits (seul celui de Brieuc semble être resté au vestiaire), se joue d'eux et de nous; tour à tour drôle, piquante, émouvante, intrigante. Ses voix sont ses instruments, le seul langage qu'elle utilise pour parler à son public. Ce n'est qu'à la fin qu'elle s'adressera à nous pour évoquer l'absence de leur père qui l'avais toujours suivie jusqu'à ce soir.

On plonge avec elle, on reste aux bords du bassin... moi j'étais déjà acquis, Brieuc n'y aura mis qu'un pied et il y aura encore un peu d'écoute à faire pour qu'il enfile son maillot.

 

Brieuc vous invite à la vente privée The Kooples

  Alors que The Kooples organise en ce moment même sur son site, des ventes privées, vous ne trouvez peut être pas votre taille ou le produit souhaité.

Rien de désespérant puisque Arlettie nous propose une vente d'exception The Kooples, à compter de mercredi 7 novembre et jusque samedi 10 novembre, au 58 avenue Philippe Auguste, à Paris, dans le 11ème.

Pour être invité, c'est très simple : inscrivez vous sur le site Arlettie.fr

Vous recevrez début de semaine prochaine, une invitation par mail à imprimer ... et pour les retardataires, pas de souci, vous pouvez vous inscrire jusqu'au dernier jour de la vente.

En tout cas, moi, j'aurais tout fait pour vous aider à vous habiller pour l'hiver !

Celui qui était au Palace pour "Le Jeu de la Vérité"

Tout le monde se souvient de cette émission de télévision animée par Patrick Sabatier dans les années 80... et bien ce n'est pas ce que je vais développer aujourd'hui.

Il s'agit plutôt d'une pièce de théâtre au Palace qui se joue depuis le 25 septembre avec Vanessa Demouy, David Brécourt, Christian Vadim et Philippe Lellouche (auteur également).

Je pensais voir une bonne grosse pièce de boulevard et finalement si nous avons ri à cette rencontre de 3 quadragénaires qui retrouvent leurs amie d'enfance, Margot, dont ils étaient tous amoureux, il n'y a pas que ça.

De l'humour certes mais aussi de l'émotion, et une belle énergie compensés parfois par quelques tirades de Vanessa Demouy qui sentent la bonne conscience convenue.

Allez y faire un tour pour vous rendre compte d'ici fin décembre 2012

Celui qui voulait fleurir sa boutonnière

Pas facile de faire fleurir quelque chose alors que ce n'est plus la saison.

Pourtant j'ai pris l'habitude d'apposer sur mes vestes, une broche de quoi "rallumer" le vêtement :

(badge en métal argenté Hermès, pique à cravate doré Hermès, badge Dior House Captain et broche noire Dior Homme, étoiles de neige et ours Louis Vuitton, camé en coton avec le chien Leïca fabriqué à Budapest)

Pour cette saison, c'est un des gimmicks : la broche, la plume ou la fleur pour orner... la boutonnière d'une veste ou d'un manteau.

Un accessoire ultime pour rendre chic une tenue, à condition d ene pas en faire de trop sauf à vouloir ressembler à l'arrière d'une caravne hollandaise ou à un sac à dos en toile de scout.

Evitons ce look Louis Vuitton avec ce blouson pour cette raison et aussi parce que même Benzema le porte :

En revanche, avec parcimonie : Prada avec ses fleurs en cuir ou ses broches (évitez le stylo car vous n'êtes ni boucher ni receveur des Postes), Louis Vuitton avec sa plume ou sa broche Tokyo, et même quelques badges...

 

Happy Halloween