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Pour célébrer l’arrivée de la collection Lanvin Petite dans les boutiques, collection que je vous avais présenté en juin dernier, Lanvin invite toutes les petites filles et leur mamans à participer à un concours exclusif !
Ce jeu-concours est en ligne pour « La Meilleure Recette de Gâteau au Chocolat ».
Et le prix pour la recette gagnante sera… www.lanvin.com/marecette
Je me propose d'ailleurs de goûter à ces recettes pour vous aider à gagner!
Comme je vous l'indiquait hier, S.T.Dupont relance son département maroquinerie avec une première ligne réalisée à partir d'une toile monogramme au double D.
L'homme a bien évidemment été évboqué et un sac nous ai proposé, sac au joli nom de Roméo.
Ce Roméo, j'ai pu en profiter et voici donc notre Roméo sous toutes les coutures...
Petit plus, il est possible de le perosnnaliser avec la pose de lettres de couleurs.
Pas question de vous faire un film mais juste d'évoquer ensemble la toile monogramme.
Cette toile fait quasi systématiquement penser à Louis Vuitton, très certainement l'un des malletiers les plus réputés encore aujourd'hui.
En 1888, Louis Vuitton décide de contrecarrer les premières contrefaçons en adoptant un nouvel imprimé de damier beige et brun avec l’inscription « Marque Louis Vuitton déposée », une toile au coton d'abord enduit, puis imprimé, verni et gravé.
En 1896, son fils Georges crée lui-même la célèbre toile révolutionnaire « Monogramme LV » dont il fait l'emblème de la marque : une toile enduite, parfaitement imperméable, de couleur gris clair, et appelée « Gris Trianon », résistante et légère pour remplacer le cuir.
Cette toile dont le tissage est réalisé en Italie, chez des industriels qui travaillent en exclusivité pour la maison française, existe de différentes épaisseurs de 0,5 à 1,2 millimètre, en fonction de l'utilisation : portefeuille, sac bandoulière ou malle. Toutes sont découpées à l'emporte-pièce en veillant à ce que les motifs de la toile en hauteur et en largeur se retrouvent à un endroit très précis sur le produit fini.
Cette précision dans la découpe des différentes pièces du patron prévaut également pour leur assemblage selon un enchaînement particulier. Les premières coutures se font à plat. En parallèle, est confectionnée la doublure flottante. Puis vient le montage en volumes et, enfin, l'assemblage intérieur de la toile par une couture finale, minutieusement rentrée et préparée, qui court généralement tout le long de l'ouverture du sac. Le tout est très grâce aux gabarits en bois et aux outils qui ont été mis au point pour chaque modèle.
Ce qui se fait chez Vuitton se réalise également dans d'autres maisons au passé de malletier comme Goyard, Dior Homme et sa ligne classic mais aussi Gucci que ce soit avec ses double G ou sa toile Diamant remise au goût du jour.
D'autres maisons utilisent également un imprimé qui reprend leur monogramme mais uniquement à partir d'une toile de coton tels Burberry, Lancel, Longchamp... et même Hermès...
Aujourd'hui, une autre maison revient sur le devant de la scène et remet en avant son passé de malletier.
Il s'agit de S.T. Dupont.
Leur nom est associé aux stylos et aux briquets laqués mais la marque toruve son origine en 1872, quand Simon Tissot Dupont acquis un atelier de maroquinerie.
Installé au 8 bis rue Dieu à Paris, un autre atelier fut ouvert en 1923 à Faverges, en Haute Savoie.
Ce n'est qu'après guerre que la maison s'orienta vers les briquets et autres accessoires luxueux, au détriment de l'activité de malletier.
En 2011, cette activité renaît avec la réouverture de l'usine de Faverges et des premières commandes comme le cadeau fait par la présidence de la République Française au couple royal Kate et William, une valise de mariage.
La maison a réactualisé son logo, un double D et réinterprété certains sacs mythiques comme celui réalisé pour Audrey Hepburn, le modèle Riviera.
Toute une gamme en toile monogrammée au double D embossé reprend vie, dans la nouvelle boutique de l'avenue Montaigne.
Mais il n'y en a pas que pour les femmes.
Demain, je vous présente le modèle homme.
Mélodrame en 4 actes
Musique de Verdi et Livret de Francesco Maria Piave
Direction musicale de Philippe Jordan, Mise en scène de Jean-Claude Auvray, Décors de Alain Chambon, Costumes de Maria-Chiara Donato.
Le soir où Berlusconi démissionnait, Bastille répétait "La Force du Destin" de Verdi alors que cet opéra n'avait pas été joué depuis 30 ans.
Alors même que l'action se déroule d'abord en Espagne, à Séville, l'histoire se poursuit sur fond des guerres du Risorgimento, pour la construction de l'Unité italienne et du Royaume d'Italie.
Un clin d'oeil du destin au moment où des petits papiers vert, blanc et rouge étaient répandus sur le public ou que le drapeau italien flottait sur le plateau.
Bien évidemment, l'aspect politique est secondaire dans cet opéra qui voit deux jeunes amants qui allaient s'enfuir connaître une destinée dramatique quand le jeune homme, Alvaro tuera le père de la bien aimée, Léonora, qui se réfugiera dans un couvent. Son bien aimé s'engagera dans l'armée puis dans les Ordres avant de retrouver le frère de Léonora qui l'aura poursuivi des années durant pour venger son père.
Il est question de Dieu, de foi, de châtiment, d'expiation, de rachat et enfin de rédemption.
Et finalement, tout semble aller vers un abattement tant les choses nous échappent, ce qui rend l'histoire assez peu vraisemblable et donne aux personnages peu de profondeur.
Ainsi, alors que la musique nous transporte, les deux principaux protagonistes, Violeta Urmana et Zoran Todorovich trop vieux pour le rôle, semblent d'emblée englués dans leur histoire et manqués de caractère pour une histoire passionnée, dans une mise en scène qui manque de refief comme les décors.
Pourtant, c'est un spectacle à ne pas rater pour cette fin d'année.
A l'issue du spectacle, je ne pouvais donc que faire ce parallèle avec la situation européenne... Vivons nous une pure tragédie ? Pouvons nous contrer les décisions du destin ?
En renvoyant certains de leurs dirigeants, les pays retrouvent ils leur pouvoir d'action ? où sont ils guidés par plus haut ? Les marchés sont ils devenus le Destin ?
Bon dimanche avec ces questions ...
Jusqu'au 17 décembre 2011
Diffusé dans les salles de cinéma UGC en direct le jeudi 8 décembre 2011, à 19h00
Diffusé sur France Musique le samedi 10 décembre 2011, à 19h30
Sur tout le magasin.
Si vous trouvez que ma présentation de trench durant la semaine est, somme toute, assez classique, je propose d'y ajouter un élément qui changera la donne.
Un sur-vêtemnet pour ne pas les abîmer en cas de pluie, un comble pour un trench!
Il me reste donc à faire l'acquisition de ce poncho transparent en perspex (1.095 euros)
Pour ceux qui ont vécu le rush d'hier chez H&M, pour la collection Versace, ils n'ont rien vécu.
Pour connaître la vraie frénésie des ventes, il faut avoir fait les soldes Hermès.
Le compte à rebours a commencé : dans deux mois exactement, si le jour de soldes officiels d'hiver en France est le 11 janvier, Hermès débutera ses soldes, une semaine plus tard, le 18 janvier 2012, au Palais des Congrès.
Toutes les infos et autres aventures racontées en janvier 2011 et juin 2011, lors des dernières ventes pour vous préparer et vous mettre dans l'ambiance.
Rendez vous donné le 18 janvier 2012 ...
Burberry lance un nouveau programme : Bespoke ou la customisation du trench coat sur son site de vente en ligne.
Une tendance de fond que j'avais déjà chroniqué en 2007.
A partir de modèles existants, chacun pourra choisir parmi un grand nombre d'options en ligne, la matière, la coupe, la couleur, les boutons, un col de fourrure...
La livraison interviendra entre 4 à 8 semaines après la commande, pour des prix qui s'échelonnent de 1 500 à 8 500 euros.
Une bonne idée pour se démarquer des autres...
Trench de la ligne Burberry Prorsum, acheté au magasin d'usine Burberry à Londres, j'avais craqué pour sa matière, un nylon noir très solide et souple et ses grands boutons en métal.
Je le porte avec un t-shirt Gap, un jean slim Cheap Monday gris et mes nouvelles chaussures derby Lanvin
Une belle invitation à danser pour ce dimanche 20 novembre 2011, au Balajo par Hermès et Paris Mon Ami.
Il me reste à trouver une fille au carré de soie, rouge à lèvres, jupons, et ballerine...
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