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Puisque je vous évoquais ce matin, la nouvelle boutique Stone Island, et que cette semaine, je voulais vous présenter mes sacs de l'été, je me suis laissé tenter par ce sac bandoulière, à la couleur verte, très flashy (color block oblige).
Imperméable, c'est idéal pour l'eau... que ce soit à la mer... ou sous la pluie!
Stone Island débarque à Paris, au 316, Rue Saint Honoré, en face de Colette.
Une installation dédiée à la lune, la suggestion des images inspirées par les missions spatiales, comme
symbole de la recherche qui est depuis toujours dans l’ADN de Stone Island, pour cette marque de Sportswear qui mise beaucoup sur les nouvelles techniques.
Un espace de 80 m2, avec, dès à présent, les collections AH 2011/2012 de Stone Island et Stone Island Shadow Project, la ligne qui me plaît le plus.
Mais de tout cela, nous en reparlerons à la rentrée. D'ici là, allez y faire un tour...
(photos prises lors de l'inauguration)
Après vous avoir présenté une sélection de cabas pour cet été, je me devais de vous confirmer que je ne pouvais m'en passer, en vous faisant un petit tour des sacs que je porterais cet été :
un sac promotionnel Jimmy Choo, un sac publicitaire "plaisir d'offrir", un cabas aux couleurs orange et rose d'YSL, un cabas Longchamp par Jeremy Scott, un downtown en coton kaki YSL, et un cabas en cuir et toile avec un aplat de peinture YSL... et bien sûr le Manifesto que je collectionne chaque année...
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Je continue sur ma lancée, à vous présenter les cabas de l'été. Aujourd'hui, je voulais vous présenter William Geandarme, un trentenaire parisien, créateur de sacs en tissu qu’on aurait d’emblée envie de qualifier de « plutôt rigolos » : William n’a pas peur du motif ni de la couleur, omniprésents dans ses créations ; il n’a pas non plus peur de jouer les grands enfants en adoptant volontairement des postures régressives (quand il s’inspire, par exemple, de la forme des bonbons Jellybean, ces haricots gélatineux très sucrés, pour les poches frontales de ses sacs) ; et cependant , c’est un urbain de son temps, qui sait bien qu’un sac doit être joli, certes, mais aussi pratique et fonctionnel pour pouvoir trimballer toute sa vie dedans. Sa marque s’appelle « This Bag is not a toy », ce qui résume très bien cet esprit. |
LA COLLECTION DES SLEEPY BAGS, DES MAXI-CABAS ORIGINAUX ET SUPER PRATIQUES, EN SERIE LIMITEE ! |
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| LES SLEEPY BAGS MAINTENANT DISPONIBLES SUR WWW.COOLANDTHEBAG.COM |
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Cool and the Bag est un site de vente en ligne de sacs en tissu, justement : après une première série de tote bags en coton bio sérigraphiés, Cool and the Bag s’est associé fin 2010 à William Geandarme, qui a créé en exclusivité pour le site une collection de sacs banane, version revisitée du sac mythique des années 80, période chérie du créateur.
Aujourd’hui, Cool and the bag fait perdurer sa collaboration créative avec William Geandarme en devenant le diffuseur exclusif de la ligne Sleepy Bags, une série de 9 sacs, proposée au prix de 39,90 €. Pour tout dire, j'ai craqué pour Tigrou! |
Après un hiver où nous portons vaille que vaille nos sacs en cuir, souvent très lourds depuis la mode du XXL ou à cause de leur qualité comme les Birkin qui valent des élongations, nous avons envie, avec l'arrivée des fortes chaleurs, de légèreté.
Cette légèreté doit se trouver aussi dans nos sacs de tous les jours.
Après vous avoir présenté les sacs de luxe copiant le "pochon", dont le market bag de Jil Sander, j'avais envie de vous présenter ma sélection de cabas rigolos, en coton.
Si nous ne pouvons pas porter le cabas de grand-mère, sauf à ce qu'il donne un air très branché, et si vous n'avez pas les moyens de vous offrir le nouveau modèle en toile de chez Vuitton :
Je vous propose de vous offrir ces quelques sacs, à porter en toute circonstance cet été... pour faire vos courses bien évidemment mais aussi pour la plage, pour se promener, pour ranger toutes ses affaires...
Il y a bien sûr ces cabas à messages qui vous font comprendre qu'il ne faut pas s'arrêter aux apparences et que finalement, en creusant bien, vous avez laissé chez vous le plus beau sac, ou que vous avez dépassé ce stade et que le it bag n'a pas grande importance.
Longchamp avait d'ailleurs bien réinterprété l'idée dès 2007 :
Autre message sympathique : celui qui vous rattache géographiquement à un lieu, façon de vous situer façon catégorie socio-professionnelle, ex-bobo comme ce cabas de chez Loft, très pratique avec ses anses et sa bandoulière :
Enfin, il y a les cabas trompe l'oeil, pour ceux qui hésitent encore entre le Birkin (vu par Thursday Friday) ou le plastic bag de chez Shopi (revu par www.torchonacarreaux.fr)
Il ne vous reste plus qu'à faire le choix...
Je commence la semaine avec le sentiment d'être "gavé".
Après tous ces défilés nous présentant les futures collections et ces soldes ou nous nous sommes gavés de vêtements, je n'ai plus qu'une envie... avec un temps lourd et chaud... me débarasser du superflu comme m'y engage ce shooting de Cory Bond, vu sur le site Homotography
c'est balot parce que j'ai la musique dans la tête maintenant...
Ce n'est pas gorille dans la brume... bien au contraire.
Ce spectacle inspiré d'une nouvelle de Franz Kafka, écrit par Alejandro et Brontis (seul en scène) Jodorowsky, nous conte une fable tragique sur la difficulté de s'adapter à une société absurde et soi-disant tolérante... que vous soyez un gorille ou toute autre personne vivante...
Brontis se présente devant nous, collège de savants, et nous explique, partant du postulat que "pour les humans, la place d'un singe est dans une cage. Eh bien, alors, voilà : j'allais cesser d'être un singe...".
Capturé dans sa forêt africaine pour être rapatrié dans un zoo, il trouve le biais pour se libérer en apprenant à parler, à se comporter comme un humain, notamment en serrant la main ou à boire au verre!
Une performance extraordinaire qui aurait pu être mieux servie avec un texte plus percutant.
A cependant, ne pas manquer au Théâtre du Petit Montparnasse.
L'autre soir, j'assistais à la Générale de Cosi Fan Tutte à l'Opéra Garnier, l'opéra de Mozart, sous la direction musicale de Philippe jordan, et les excellentes Elza Van Den Heever et Karine Deshayes.
Une mise en scène classique, une douce torpeur jusqu'au moment ou Despina, interprétée par Anne-Catherine Gillet a entamé son récitatif, je n'ai pu m'empêcher de penser à une actualité new-yorkaise
"Quelle maudite vie
Que de faire la femme de chambre!
Du matin au soir
On s'affaire, on transpire, on travaille et puis
De tant de peine, rien n'est pour nous.
Voilà une demi-heure que je bats;
Le chocolat est fait et il m'incomberait
De demeurer à le sentir la bouche sèche?
La mienne n'est-elle peut-être pas comme la vôtre?
O charmantes dames,
Qu'est ce qui a attribué à vous la substance et à moi l'odeur?
Morbleu, je vais le goûter. Comme c'est bon!"
Lundi soir avait lieu l'inauguration du restaurant de l'Opéra (dont c'est le nom) conçu par la nouvelle étoile montante de l'architecture, Odile Deck, nouvelle icône de la branchitude, mix de Jeanne Mas et d'Amélie Nothomb.
D'étoiles, il y en avait forcément dans ce lieu spectaculaire, dont les contraintes d'aménagement étaient très fortes. Concevoir un restaurant dans un lieu qui accueillait les calèches au temps de Garnier, sans toucher aux murs, aux piliers et à la voûte et permettre éventuellement de tout démanteler en cas de fin de concession...
Pari gagné avec cette structure posée au sol avec une mezzanine toute en courbe comme la surface vitrée qui ondule (et ressemble à celle du musée MAS à ANVERS), recouverte d'un tissu rouge (hélas ce n'est pas le rouge du rideau de scène).
700 m2 pour ce restaurant tenu par Pierre-François Blanc, avec comme chef Christophe Albert.
L'objectif est d'obtenir des étoiles pour un gastronomique avec un menu à 40 euros le midi et 60 euros le soir. Il sera ouvert dès 7h du matin pour proposer des petits déjeuners, jusque minuit.
Puisque j'en suis aux étoiles, nous avons pu croiser une vraie étoile, Aurélie Dupont et de nombreuses étoiles éteintes comme Pierre Cardin, Régine et une très grosse... bague, Mylène Demongeot mais aussi Jean Claude Jitrois et Sarah Marshall et une étoile du théâtre, Julie Depardieu qui ne m'a pas quitté...
Il faudra attendre semaine prochaine pour l'ouverture au public, tous les travaux n'étant pas complètement achevés.
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