Du brieuc, du léger... c'est la chronique briochine.
Enfin une bonne nouvelle pour bien finir l'année : la crise est finie!
Vous ne me croyez pas?! Vous avez des doutes?
Les informations vous indiquent le contraire : hausse du chômage, PIB en recul, endettement par tête de pipe en nette augmentation tout comme les prélèvements sociaux...
Et bien moi, je vous confirme le contraire.
Je ne suis pourtant pas le confident de la reine Christine, vous savez Christine Lagarde.
Ma source provient de la meilleure qui soit : la source champenoise et celle d'une dame croisée fin novembre à un cocktail.
Je sais que cela peut paraître incroyable, mais alors que je dégustais sagement une coupette de champagne à l'Opéra Garnier, lors de la remise du Prix de la Danse à la sublime Eléonore Guérineau et au svelte Josua Hoffalt, une dame me glissa à l'oreille, encore toute stupéfaite, que le champagne était revenu sur nos buffets et cocktails.
Elle me précisa qu'à une soirée privée à Pleyel, la semaine précédente, le champagne avait coulé à flots, vision qui avait disparu depuis plus d'un an. Elle me raconta ainsi son année terrible privée de buffets et cocktails ou bien alors que quand il y en avait, la table demeurait vide de vin à bulles.
Toute heureuse de cette évolution positive, elle passa le reste de la soirée devant le buffet, avec, toujours à la main, une coupe.
Ce témoignage me poursuivi les jours suivants et jusqu'à cette fin d'année, où j'ai pu dégusté, pratiquement tous les soirs, toutes les grandes marques de champagne que ce soit au cocktail chez Boucheron, chez Chanel ou bien Dior Joaillerie, place Vendôme mais aussi Vuitton sur les Champs Elysées ou bien encore Bulgari.
Dans tous les cas, chacun (et moi le premier) semblait vivre pleinement ces temps difficiles en dégustant de la crème de foie gras enfouie dans des oeufs de poule, des macarons ou bien encore de délicieux petits chocolats. L'opulence des buffets, le nombre des invités et la qualité des lieux permettaient à tout le moins d'oublier une crise qui ne touche pas tout le monde.
Seul petit bémol : le petit vin blanc de la Fnac et sa clientèle sans doute affamée pressée contre le buffet.
Sans doute un signe que la crise n'est pas complètement terminée!
Quoiqu'il en soit, crise ou pas crise, passez tous de très bonnes fêtes de fin d'année.
Les commentaires récents