brieuc75

Se faire la malle - étape 2

Dans le dernier article sur le sujet "se faire la malle", je titrais étape 1 ce qui semblait indiquer qu'il y aurait une seconde étape.

Et bien la voici.

En écrivant la précédente note, je me disais bien qu'il y aurait des réticences : objet encombrant, lourd, silhouette déséquilibrée...

D'où l'intérêt de passer à l'étape 2 : L'intérêt de la valise est vraiment de se positionner comme un précurseur, un avant gardiste, une évolution ultime du sac.. mais il existe une autre alternative, plus facile à assumer.

Vuitton et Victor &Rolf nous aident en cela en s'inspirant des bagages des années 50, époque où l'aviation était le nouveau moyen moderne de transport, époque où il se modernisait rapidement amenant le voyageur à rechercher des bagages lui permettant de s'envoler sans se charger.

Ces fameuses marques ont donc revisité le style du sac cabine en nous proposant pour Vuitton un sac en cuir souple avec bandoulière et un bon gros nom de marque écrit sur le côté, histoire de prouver qu'en la matière le maroquinier est bien un expert du voyage.

Le duo nous fait une autre proposition en s'associant avec Samsonite Black label, aussi pour nous prouver qu'ils y connaissent un rayon ou qu'à tout le moins ils se sont bien entourés pour nous proposer cette petite valise (modèle Sally pour les filles et Harry pour les garçons) inspirée des années 50-60, également aux motifs ludiques et sages.

Pas mal pour un shopping du samedi.

Mon premier losange GM en coton d'Hermès

Vous le savez désormais : je suis fan du losange grand modèle en soie et cachemire. Je l'ai porté tout l'hiver.

Hermès nous propose une version estivale que je vous ai déjà présentée.

Après un grand suspens quant à la faisabilité technique, Hermès les a reçu semaine dernière uniquement au 24 Faubourg. L'un d'eux m'était réservé.
Le voici... en rayures pyjama bleu ciel roulotté marine.

Se faire la malle - étape 1

Le titre est un peu facile mais exprime bien la tendance de cette année.

J'exagère un peu car pour la malle, il faudra encore attendre un peu mais pour sa petite soeur, la valise, c'est une évidence.

Elle revient en force.

Alors pas n'importe quelle valise. Pas celle en plastique moulée à 4 roues motrices. Celle ci est juste bonne à se cacher dans les soutes à bagage.

Je parle de la vraie valise.

Ce modèle en toile ou en cuir, assortie d'une jolie poignée en cuir et qui se porte à bout de bras, sans roulettes ni bandoulière (ce serait trop facile d'être mode autrement)

Elle était la vedette des défilés prêt à porter d'Hermès pour homme ou pour femme. l'homme ressuscitait un ancien modèle alors que la femme s'allongeait le bras avec une valise en croco ou en zèbre (enfin façon zèbre).

Kanye West et tous ses amis (dont Don et le modèle en epi jaune) portaient fièrement également pour l'un, un modèle monogrammé Vuitton et pour l'autre, un Goyard

Car si je parle de retour, ce n'est pas pour partir en voyage mais pour l'arborer dans les rues de la capitale comme un vulgaire sac à main.

Trop vu la sacoche, la besace, le sac messenger ou bien encore le cabas (même si ce dernier demeure la valeur sûre).

La valise est le nouveau contenant pour se démarquer... bien sûr avec une jolie marque de luxe.

La nouvelle sélection de la braderie de brieuc : Gucci

Cette semaine, 3 sacs issus de ma collection Gucci, à suivre dans la boutique...

Yes des Pet Shop Boys

La sortie d'un nouvel album des Pet Shop Boys est toujours un événement.
Ce groupe électro pop existe depuis plus de 20 ans et a toujours connu le succès soit avec ses créations que ce soit en album, bande originale (Potemkine) ou comédie musicale, ou que ce soit pour d'autres dont Liza Minelli.

Le nouvel album composé de 11 titres dont les tubesques "Love Etc" et "Yes" sort le 23 mars.

C'est aussi l'occasion de profiter de leurs nouveaux looks très fashion comme le démontre cette couverture pour le magazine allemand Spex :

Kylie Minogue pour Elle UK de mai 2009

La Maison des Halles

Je poursuis mes enquêtes gustatives dans les différents restaurants de Tours avec cette fois-ci un restaurant spécialisé dans la viande.
Je vous éviterais les Hippo et autre restaurant du genre pour privilégier la Maison des Halles, très justement située au 19 place des Halles.
Ce restaurant dont la carte précise immédiatement la spécialité, dispose d'un accueil très agréable, d'une décoration plutôt banale de style petite trattoria et manquant d'intimité, mais de jolis plats tous plus appétissants les uns que les autres.

Le menu du midi à 17,50 euros est des plus réussi.

Une chose est évidente, il faut être amateur de carnasserie.

Ma confiance est totale puisque j'y ai dégusté un tartare de boeuf correctement assaissonné, recouvert de belles plaques de parmesan et assorti de frites bien croquantes.

Un bon moment.

Le Birkin en trompe l'oeil

Pour son dernier défilé de prêt à porter féminin, pour l'automne hiver 2009-2010, présenté la semaine dernière, Hermès par Jean Paul Gaultier nous a transporté au temps héroïque de l'aviation moderne où des amazones revêtues de cuir battaient l'air.

La collection en thématique cohérente et toute en monochrome proposait notamment une nouvelle variation du Birkin : le Birkin en trompe l'oeil.

Comme un clair obscur, à l'instar du faux semblant, le sac icône de la Maison continue son évolution douce pour plus de simplicité.

Une simplicité apparente car le sac tout uni, débarrassé de son fermoir, est recouvert d'un cuir embossé qui reprend les formes de son système d'ouverture.

Le sac en peau, en daim ressemble à un sac posé à même sur le sable fin qui aurait ainsi copié la forme sur le sol. Un sentiment de fragilité s'impose.

Une fausse simplicité pour une technique de trompe l'oeil très raffinée.

Nul ne sait encore si ce sac sera commercialisé, ni à quel prix.

Je me prenais à rêver à ce que cette technique soit également reprise pour le sac Haut à Courroies...

L'Anniversaire

Une soirée au théâtre de la Comédie des Champs Elysées que je ne connaissais, pour une pièce de Harold Pinter, une adaptation et une mise en scène de Michel Fagadau.

Un anniversaire fêté dans une pension de famille tenue par Andréa Ferréol, touchante et juste, avec un seul occupant, Lorant Deutsch, au jeu un peu fade dans un rôle de domination. L'arrivée de nouveaux clients dont l'excellent Jean François Stévenin va précipiter la soirée dans une ambiance bizarre, troublante où chacun perdra la tête...

Du Pinter qui dérange et ne donne pas forcément tous les codes pour comprendre, ce qui laisse un goût d'inachevé.

La vente privée Bompard

Quand je vous indiquais que les ventes privées commençaient tôt cette année, avec l'ouverture du bal par Smalto, je ne me trompais pas puisque c'est au tour de Bompard de prendre le relais.

Envie d'un poil de chèvre doux et enveloppant, aucun problème avec les cachemires d'Eric Bompard et ses collections bon chic bon genre.

A partir d'aujourd'hui et ce pendant 3 jours.