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Après les Gold, Platinum, Black ou Infinite, voici les cartes co-brandées.
Rien de dégoûtant : juste l'association d'une banque, d'un réseau de cartes bancaires avec une marque.
Cavalli s'est donc associé au réseau Mastercard pour proposer cette carte qui, outre les fonctions de paiement et de retrait habituelles, offre des services exclusifs chez le créateur (invitations à des événements, promotions...). Une impression en peau de serpent pour ceux qui n'ont pas d'oursins dans leur poche!
C'est la saison. Frangipane toute simple, à la poire, au chocolat... Guy nous l'a proposé en différentes versions pour un goûter dominical savoureux.
Une collection et un défilé dédié à Mick Jagger?
On pourrait le croire à voir le mannequin sur cette photo ou tout simplement cette collection très rolling stone.
Des tenues slim, du cuir, de la fourrure, des petits costumes ajustés qui nous rappelent les débuts du groupe à ses dernières tenues sur scène comme ces pantalons en cuir traités façon jean.
Après une collection d'été très ibiza, la marque nous entraîne pour l'hiver à Londres, suivre ce groupe de rock caché derrière des lunettes de soleil.
Frida Giannini est l'une des premières créatrices à oser la couleur depuis le début des défilés. Pas de façon excessive mais juste quelques touches sur une chemise, une paire de chaussures.
La cravate est aussi de la fête, nouée ou juste posée autour du cou, lamée ou noir brillante.
Les sacs, accessoires toujours mis en avant, demeurent comme le reste des autres défilés, presque sobre mais très travaillés. Le logo est ton sur ton sur une toile noire, les cuirs sont traités façon reptile ou croco mais pas de signe obstentatoire de richesse.
Une collection plus subtile, plus élaborée.
"La" rue de Milan. Via VERRI.
"La" boutique de Milan, disait-on.
"Le" couturier adoré... quand il était chez Gucci.
Le gars qui était une idole!
Un peu moins admiré lorsqu'il a collaboré avec Pinault pour Saint-Laurent.
Très attendu sous sa propre marque.
Quelle déception!
La boutique ressemble à une enseigne mortuaire, avec de longues tentures noires.
Tout est noir du plafond au plancher(y compris le vendeur et surtout le portier, style André Leon Talley )!
La (très faible) lumière est violette.
Tous les modèles en noir et blanc à l'intérieur. Du club aux chaussures de golf , en passant par les costumes, chemises et smokings.
Courage, fuyons!
PS : pour les irréductibles, je vous propose une visite guidée de la boutique sur le site de Paolosavi.
Est-ce la crise?
Stupéfaction.
Alors que Milan était enneigée, les nouveaux étalages printemps fleurissaient partout.
Mais chez Louis Vuitton, il y avait les mêmes décors qu'en novembre pour présenter les nouveaux sacs et vêtements!
La collection femmes printemps-été 2009 dessinée par Marc Jacobs est quais absente : aucun des modèles "phares" dans les vitrines!
Les temps sont durs.
L'homme Prada qui avait adopté une certaine légèreté lors des dernières collections, en affirmant sa part de féminité, s'est raffermit.
Il se protège en ces temps de crise, quitte à revenir au primitif pour se protéger : cuir et clous sont ses nouvelles armes
Sous ou sur son costume croisé, il se pare d'un t-shirt de cuir, d'empiècements de peau sur son pantalon voire de clous jusque sur ses chaussures. Pour sortir, il revêt un manteau coupé au laser en laine, en cuir. Il portera même une "peau de bête" comme ce manteau chasuble en fourrure, coupé à bords francs.
Toujours brut et par souci d'économie sans doute, pas de pli au pantalon qui sera juste retroussé au cas où le corps grandirait ou le vêtement serait prêté.
Une évolution vestimentaire digne de ces espèces, qui en fonction de leur milieu, évoluent pour se protéger.
Tomas Maier continue à construire son vestiaire pour l'homme en conservant ses couleurs chaudes, légèrement pastellisées mais en réduisant les tailles.
L'homme est moins massif, plus serré dans ses vêtements (régime, cure d'austérité??) mais toujours avec de belles matières.
Des gilets en peau, des tenchs en cuir, des costume en velours.
Le banquier de la City avec chapeau melon a été troqué par un étudiant en beaux arts des années 60, en manteau de laine ou bien dans son costume froissé.
Une collection chic et confort.
Cavalli nous fait du ethnique, pas loin de Westwood
Ferré et son nouveua duo de créateurs nous transporte vers le futur et des silhouettes très structurées
Armani nous fait du Armani et beaucoup d'Armani, uniquement pour les afficionados
Neil Barrett tout en juxtaposition
Ischia, Ibiza...Années seventies....chez Gucci et Cavalli.
Uniquement chez Ferragamo
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