Je vois votre oeil s'humidifier à l'évocation de ce nom : Spartacus!
Et bien vous avez raison : le spectacle est un vrai... péplum, pour le ballet du théâtre Bolchoî.
Tout un imaginaire devant nous qui nous renvoie aux productions hollywoodiennes des années 50 et une musique de Aram Khatchatourian qui s'en inspire directement.
L'histoire de cet esclave qui affronte l'Empire de Rome est tout à fait de notre temps, parfait pour confirmer la tendance mode de la prochaine saison : le retour de la spartiate!!
Mais revenons à l'essentiel : un ballet en trois actes, chorégraphié par Iouri Grigorovitch, présent samedi dernier, pour la première représentation donnée à l'Opéra Garnier. La création date d'avril 1968, sous l'ère (air) communiste ce qui explique en grande partie, ce parti-pris (communiste?) pour des danses très viriles, carrées et fortes.
Une énergie et la force palpable de Carlos Acosta qui joue le gladiateur et seul danseur cubain parmi le ballet composé uniquement de russes.
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