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Découvrir les bâtiments de cette "nouvelle Rome", posés dans les nombreux parcs de la Ville, aller jusqu'à Schonbrunnet découvrir la Palmenhaus ou serre à palmiers, faire le tour des nombreux antiquaires de la ville,s'aérer au marché, le Naschmarkt et s'installer enfin sur une banquette Biedemeier.
Les facades sont jaunes comme le fameux café Sperl, le chateau de Schonbrunn est jaune, la porcelaine est en or.
H&M est présent dans toute la ville comme toutes ces marques de vêtement mondialisées avec Zara, Benetton, C&A et quelques enseignes typiques comme Turek ou GIL. La nouveauté est qu'H&M présente dans un de ses magains, sa collection plus haut de gamme : H&M by collection. Ce qui reste étonnant est le nombre de magasins de vêtements très classiques.
Le soir, l'Opéra s'éclaire et de nombreuses buvettes s'installent derrière l'hôtel de ville (Rathaus) pour le cinéma en plein air. Vous pouvez également déguster la fameuse wiener schnitzel ou le tafelspitz.
La place centrale est la Stephansplasse toujours très fréquentée avec ses touristes, ses musiciens, ses mimes en tous genres, pour découvrir la cathédrâle, les boutiques de luxe dont Hermès mais aussi Gucci, Vuitton, Chanel ou bien encore se diriger vers la rue des boutiques plus populaires.
Une pause au Café Im Kunsthaus est un moment inoubliable tant par l'architecture de Hundertwasser que par l'ambiance "Alice au pays".
Une belle exposition de photos sur les jeunes années de Romy Schneider au musée du mobilier (Hofmobiliendepot), une visite étonnante de la porcelaine détenue par l'Empire au musée de Hofburg, la belle facade de l'architecte Otto Wagner, et son rosier en céramique, des boutiques en tous genres encore et encore et de nombreuses pauses dans les très nombreux salons de thé viennois ou Konditorei, dont une franchise comme Aîda, pour déguster les strudels, ou l'excellent Demmel, pour ses langues de chat. Ne pas oublier non plus d'acheter les fameuses gaufrettes Manner.
Enfin, évoquer Vienne, l'Autriche, sans parler du loden serait une faute de goût, alors le voici en rose.
Blanc
comme le chemin qui mène au MuseumsQuartier et à son Leopold Museum où nous avons découvert Egon Schiele (celui que chante Mylène Farmer dans "Je te rends ton amour"), ou le très varié Kolo Moser,
comme notre premier restaurant, Salzamt, au décor épuré, où nous avons tenté de déchiffrer la carte, comme la boutique hype, Park, le Colette viennois, avec Raf by Raf Simons mais peu d'autres créateurs autrichiens. Je cherchais Ute Ploier mais je n'ai trouvé aucune boutique proposant ses collections.
Blanc également la tenue de nuit de Sissi, dont la présence semble dominer la ville tout comme la crème fouettée de l'un des meilleurs salons de thé de la ville : Haas & Haas, et son coquet salon de jardin. C'est aussi la jolie terrasse protégée de la pluie, le soir, chez Gigerl, un restaurant typique car stadtheurige : la tradition veut que chacun aille chercher ses plats au buffet.
La ville a une connotation austère. Pourtant, elle s'anime tous les jours et toutes les nuits. Entre ses églises, de nombreux gratte ciel se profilent, entre tradition et modernité. Entre appartements impériaux qui dévoilent la salle du Gouvernement ou bien l'intimité de l'impératrice, dans sa salle de bains, ou dans sa cabine de voyage, nous découvrons au Mumok, le musée d'Art Moderne, une belle visite consacrée aux artistes des années soixante dont Ben, ou les invraisemblables toiles de Sigmar Polke
Il y manque le drapeau autrichien. Ce rouge bordeaux est partout : tapissé en damas dans les appartements impériaux, au Palais de la Hofburg, dont la pièce qui faisait office de salle de sport à Sissi, emballant les sublimes véritables sachertote, chez Sacher, gâteau au chocolat fourré. Les banquettes de très bon salon de thé Dommayer, à proximité de Schonbrunn, sont également rouge. Ce rouge que l'on retrouve dans les moyens de transport : métro, tram, ou encore cette colonne de la Kunsthauss Wien, dans le Landstrabe. Notre hôtel, le Levante Parliament était forcément rouge, avec une exposition permanente d'oeuvres de Nemtoi.
A découvrir sur OUT de septembre 2007.
Déjà mis à nu...
mais jamais aussi bien que cela...
Une publicité vivante pour s'abonner à un club de sport, avec un bon coach, pour pouvoir s'aimer, et aimer son chien.
La campagne de la dernière collection dessinée par Hedi Slimane.
Peu visible en magasins, devenus de vrais jeaneries.
avec Kevin Federline par Milan Vukmirovic.
Une couverture décevante avec l'ex-mari de Briteny Spears, un peu loose et un thème vu et revu : les Bad Boys, après pete Doherty et alors que toutes les campagnes de publicité font l'apologie de l'homme en costume, chic, formel, avec de belles matières.
Une fin de règne chez Dior Homme et un manque d'inspiration chez L'Officiel sur ce thème?
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