Jeudi soir, j'étais invité au Zénith d'orléans pour assister au concert de 3 demoisselles que je ne connaissais pas, à savoir Marie Cherrier, Pauline Croze et Olivia Ruiz.
En fait, j'avais entendu parlé de la denrière pour son passage à la Star Ac' et je savais qu'elle ne faisais pas partie de "mon univers musical" comme on dit à la Nouvelle Star.
C'est donc avec un léger a priori que j'y suis allé.
Verdict, me direz vous :
- Marie Cherrier, pieds nus sur scène avec deux musiciens également aux pieds nus, nous chante des mélodies pop-rock avec une voix presque enfantine, proche de Vanessa Paradis, sur des textes pas très ingénus. Elle donc l'impression de monter pour la première fois sur scène, à la fois émerveillée, confuse, timide, étonnée d'être devant un public qui cite ses chansons. L'ensemble est donc frais, léger, mais sans couleur ni relief. Rien de nouveau en somme.
- Pauline Croze sera ma révélation. les lumières changent, se font rouge, rose, enfumées. Après une presque ado, nous découvrons une femme sensuelle dans sa musique et ses textes. Des chansons qui s'étirent, prennent leurs temps, avec peu de paroles. Une certaine nonchalence qui donne envie d'être dans un jardin, sous un arbre, à l'ombre, à révasser. L'ensemble est loin d'être parfait car la jeune femme reste encore timide, cachée derrière sa frange, sa guitare, son micro. Elle reste immobile et en décalage avec ses chansons, presque autoritaire en ordonnant au public de reprendre ses refrains. Des maladresses gommées à la fin lorsqu'elle laisse sa guitare, prend le micro et se balance sur sa dernière chanson, que son pull dévoile une épaule : on l'imagine déjà dans une robe légère.
- Olivia Ruiz fait sa star : C'est la 3ème et on pourrait penser qu'elle a bénéficié de 2 premières parties, avec une plateau installé sur la scène, une robe rouge qui aurait pu aller à Pauline Croze. Son arrivée est énergique mais sans doute trop. La musique est saturée, sa voix pousse, ses gestes sont syncopés. Hormis un passage sans musique, où sa voix se découvre intéressante, le reste bouche les oreilles.
et puis les albums sont peut être mieux :
- Pauline Croze sera ma révélation. les lumières changent, se font rouge, rose, enfumées. Après une presque ado, nous découvrons une femme sensuelle dans sa musique et ses textes. Des chansons qui s'étirent, prennent leurs temps, avec peu de paroles. Une certaine nonchalence qui donne envie d'être dans un jardin, sous un arbre, à l'ombre, à révasser. L'ensemble est loin d'être parfait car la jeune femme reste encore timide, cachée derrière sa frange, sa guitare, son micro. Elle reste immobile et en décalage avec ses chansons, presque autoritaire en ordonnant au public de reprendre ses refrains. Des maladresses gommées à la fin lorsqu'elle laisse sa guitare, prend le micro et se balance sur sa dernière chanson, que son pull dévoile une épaule : on l'imagine déjà dans une robe légère.
- Olivia Ruiz fait sa star : C'est la 3ème et on pourrait penser qu'elle a bénéficié de 2 premières parties, avec une plateau installé sur la scène, une robe rouge qui aurait pu aller à Pauline Croze. Son arrivée est énergique mais sans doute trop. La musique est saturée, sa voix pousse, ses gestes sont syncopés. Hormis un passage sans musique, où sa voix se découvre intéressante, le reste bouche les oreilles.
et puis les albums sont peut être mieux :
